
L’attaque acerbe de la Franco-Algérienne Malika Sorel contre la ministre française de la Culture, Rachida Dati, a provoqué une vague d’indignation et de colère. Le tweet fielleux de la Franco-Algérienne, visiblement frustrée par le succès du déplacement de Mme Dati dans les provinces du Sud marocain, a révélé une profonde animosité, voire une haine anti-marocaine. Dans un message empreint de méchanceté gratuite, elle a critiqué une photo de la mère de Rachida Dati, qui apparaît en voile, posée en arrière-plan sur son bureau. Cette attaque, portant sur un sujet aussi personnel et intime que la photographie d’un proche décédé, a choqué de nombreux observateurs, tant par son inélégance que par son absence totale de retenue.
La polémique a été alimentée davantage par les propos de la Franco-Algériennee, qui a cherché à imposer une lecture de la situation en référence à la laïcité. Cette Franco-Algérienne, se présentant comme la gardienne des « valeurs républicaines », a interpellé la ministre sur ce point, ce qui a laissé de nombreux critiques perplexes quant à la pertinence et à la justesse de ses attaques. En effet, cette intervention n’a pas été perçue comme une contribution constructive au débat public, mais plutôt comme une tentative malavisée d’attirer l’attention en s’attaquant à une personne sur des questions qui, de toute évidence, ne relèvent pas du domaine de la politique mais de la sphère privée.
Cette énième sortie de la Franco-Algérienne Malika Sorel met en lumière son incompétence et ses difficultés à trouver des arguments et une argumentation convaincante pour soutenir ses positions politiques. En s’attaquant à une photo personnelle de Rachida Dati et en remettant en question son respect des principes républicains, elle semble avoir perdu tout sens de l’équilibre et de la décence et et montre son manque d’éducation. Ce type de discours, souvent alimenté par des rancœurs personnelles et des stéréotypes, nuit gravement à la crédibilité de l’élue européenne et à la qualité du débat public.
L’indignation suscitée par cette sortie ne s’est pas limitée à la sphère politique. Des voix se sont élevées de toute part, exprimant leur dégoût face à cette forme de méchanceté gratuite. Nombreux sont ceux qui estiment que ce genre de comportement ne fait qu’envenimer les relations entre les différentes communautés et ne contribue en rien à la construction d’un dialogue respectueux et constructif.
En fin de compte, l’incident a mis en évidence non seulement les tensions existantes entre les figures politiques, mais aussi la manière dont des divergences d’opinion peuvent parfois dégénérer en attaques personnelles dégradantes. Dans une démocratie où le respect des principes de tolérance et d’équité est primordial, il devient urgent de privilégier le dialogue et la réflexion, plutôt que de céder à des réactions aussi venimeuses et inutiles.