La pénurie de l’offre locative, qui résulte de la baisse du nombre de logements mis en location par les propriétaires, en raison de la crise sanitaire, de la concurrence des plateformes de location saisonnière ou de la hausse des prix de l’immobilier.
La forte demande locative, qui s’explique par le retour des étudiants en présentiel après une année de distanciel, par l’augmentation du nombre d’étudiants étrangers ou par la mobilité géographique des jeunes actifs.
Les exigences des bailleurs, qui demandent souvent des garanties financières ou des durées de location minimales, qui ne correspondent pas toujours aux capacités ou aux besoins des étudiants.
Ces difficultés ont des conséquences négatives sur le bien-être, la réussite et l’insertion professionnelle des jeunes, et constituent une “urgence absolue” selon un rapport parlementaire.
